Le grand écrit

 20/03/2021

En 2016, Dany Michel s’occupait de la gestion d’un karting. Parmi ses clients, ils étaient nombreux à vaper avec des cigarettes électroniques. Lui-même fumeur, il s’est alors renseigné à propos de ce produit qui avait l’air d’être une bonne alternative.

Le constat lui sauta assez vite aux yeux : il n’y avait pas beaucoup de vendeurs de ce produit, surtout si l’on voulait que la qualité soit au rendez-vous. Sachant que son karting allait devoir fermer car le bâtiment où il se trouvait allait être vendu, Dany Michel se rend alors compte de la belle opportunité qui lui fait face.

Dès le mois d’avril de la même année, il démarre sa nouvelle activité avec comme objectif d’ouvrir un magasin témoin dans le but de devenir grossiste et former des clients. La société Vaprotex était ainsi née.

 

Des débuts compliqués

« Nous avions fait notre première production en nous basant sur la loi entrée en vigueur en avril 2016, mais quelques mois plus tard, en janvier 2017, l’État décide d’une nouvelle réglementation à la suite de l’abrogation de la loi d’avril 2016 qui a touché le monde de la vape. L’entièreté de notre stock n’était donc pas aux normes puisque nous devions changer tous l’étiquetage.

Nous avons essayé de trouver une solution, mais le SPF Santé nous a empêché de vendre nos produits. La seule solution a été de tout réétiqueter afin de les écouler sur le marché belge » se souvient Dany Michel.

Mais malgré ces petits couacs de démarrage, Vaprotex savait dès le départ quels produits elle voulait vendre. « Quand vous parlez de la vape, pour moi on parle avant tout de santé Pour acceder à la totalité de l’article vous devez être connecté.
Il reste 85 % de l’article à lire